mercredi 17 août 2011

Une de ces belles journées familiales

Une belle journée ensoleillée, la belle-famille en invitée, un jour comme on les aime s'annonce !
Quoique, il y a parfois une petite appréhension qui finit toujours par s'envoler.

Les choses n'ont pas toujours été très simple, entre ma belle-famille proche et moi, peut-être un manque de dialogue ou tout simplement d'efforts de chaque côté pour comprendre l'autre ... C'est pourtant tellement simple de bien s'entendre, et si agréable d'être réunis ! J'ai donc décidé de faire un pas en avant pour améliorer les choses. Les invitations lancées, il n'y a plus qu'à s'organiser !


Comment ne pas faire plaisir aux petits et grands en préparant de bons gâteaux maison ?

Sans arrières pensées, ni pour marquer des points, c'est venu spontanément, j'ai juste eu envie de faire plaisir et de me faire plaisir aussi, juste pour parler avec le cœur, de façon peut-être maladroite, je l'ai fait avec  mon petit cœur et sans rancœurs ♥

C'est donc pleine de volonté que j'ai préparé ce goûter, qui a plu a tout le monde, j'en suis si heureuse ! Des rires à perte d'oreille et des sourires sur les visages, les enfants qui s'amusent et courent partout en riant ...

Je me suis sentie si bien, un vrai moment de bonheur à l'état brut !

Je n'ai pas la chance d'avoir une grande famille, je n'ai pas de frère et sœur et les réunions où l'ont se retrouvent tous ensemble se font (très) rares, il faut dire que parfois, il vaut mieux. Du coup, j'ai souvent l'impression de ne pas être complètement intégrée lors des activités avec ma belle-famille, ce qui est purement fictif à mon humble avis ...

Faire partie d'une famille, je ne savais pas que ça pouvait s'apprendre, voilà une belle découverte ! Un apprentissage que je ne connaissais pas, celui des liens familiaux, mais pas n'importe lesquels, ceux qui unissent l'élément rapporté (en occurrence moi) et la famille de l'être aimé (Chéri Bibi). Ces liens qui se crée naturellement pour certains chanceux et chanceuses, plus difficilement pour d'autres, et pas du tout pour ceux qui restent. Je ne veux pas faire partie de ces derniers, je sais que je vais devoir travailler sur moi-même pour apprendre à m'ouvrir d'avantage, mais je pense que ça en vaut vraiment la peine !

Faire partie de ces gens rongés de regrets jusqu'à la tombe, quel intérêt ?

Dans la vie, du haut de mes 27 printemps, j'ai appris de belles choses, mais la plus importante, c'est que tout peut s'arranger si tu t'en donne les capacités. Il n'est jamais trop tard pour l'appliquer !

Chez moi, on ne dit pas "Si Dieu veut" mais "Si tu veux, tu peux !"

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